ARTMÉVI 2021
[ LES ARTISTES RÉSIDENTS ]

AYAWAVI REINE
ADJOYI
Artiste plasticienne autodidacte, Ayawavi Reine Adjoyi peint les visages qui l’entourent dans des paysages oniriques. L’humain est sa principale source d’inspiration dont elle recouvre la toile, la décompose, entre formes abstraites et figuratives. En parallèle investie dans plusieurs associations, son travail artistique extrait de ce concret des espaces imaginaires.

MAXIME
LAGUERRE
La pratique artistique de Maxime Laguerre est influencée par le travail de l'image d'une époque passée. La
photographie argentique et l’estampe sont constitutives de sa pratique et de
son désir de compréhension et de transmission de techniques dites «obsolètes», inscrivant par là son travail dans une culture du « Do
It Yourself ».
Son intérêt pour la photographie et le portrait l'amène à travailler en moyen format et à m’inspirer à la fois de la photographie documentaire et de la photographie de mode pour mettre en
scène son entourage, ses créations plastiques ainsi que les leurs.

MELINDA
FOURN
Mélinda Fourn est une jeune artiste française originaire du Bénin.
Elle collecte de manière obsessionnelle des déchets (épluchures de fruits, sachets de thé...) et se délecte de leur brunissement, leur dégradation, leur évolution.
Elle a aussi pour habitude de réaliser la plupart de ses accessoires, boucles d’oreilles, bagues et bracelets.
Après un voyage d’étude au Ghana, au sein de l’université des sciences et technologies Kwame Nkrumah,
elle apprend le tissage, la réalisation de bijoux en argent ainsi que la confection de perles et fait le choix d’incorporer et d’assumer des savoirs-faire autrefois tus au coeur de sa pratique.
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TESPRIT
L’artiste plasticien Tesprit est un véritable touche-à-tout : teinture, taxi bagage au grand marché,
maçonnerie, jardinage - aucun métier ne lui donne froid aux yeux.
Tesprit développe une écriture basée sur le recyclage des sandalettes
communément appelées «DJIMAKPLA» (enfant sans éducation) au Togo. Ce travail de recyclage est né de la crise de la Covid-19, une période pendant laquelle, privé de ses ressources financières, l’artiste se penche vers des matériaux plus accessibles ayant un rapport direct avec la condition de
vie des hommes dans la société. Désormais, son style se reconnaît par la sculpture des sandalettes
sur toile à travers les thématiques de l’enfance et des conditions de vie des enfants de la rue.

EGNONAM STACEY
AGNEKETOM
L’artiste peintre Egnonan Stacey Agneketom est toujours en exploration dans l’histoire de l’art. Elle ne
cesse de se renouveler, de chercher et réinventer, des formes abstraites aux figuratives. Elle interroge
les sentiments ressentis à travers le mystère de l’intériorité. Ses couleurs vives, élément central de sa
peinture, enveloppent sensuellement les corps féminins et les paysages nous transportent dans une
douce danse énigmatique.
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IRENE
DE LAS ESTRELLAS ABELLO
«Dans un va-et-vient entre sa Colombie natale et une France d’adoption, Irene de las Estrellas cueilledes fragments de paysages à la frontière d’un imaginaire transatlantique. Au travers de divers
prélèvements, soustractions et détournements, elle vient tantôt révéler, sinon désamorcer, ce qui
construit nos échelles de valeurs. C’est dans une pratique du soin et du détail qu’elle cherche des
formes aérées des nuisances propres à un système en saturation. Des formes qui se prononcent à la
manière d’un geste. Logée dans les interstices de nos représentations, Irene nous montre des traces
laissées comme autant de signes à décrypter, de modes d’attention et des langages à appréhender.»
Clément Erhardy
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KWAMI
DA COSTA
Kwami Da Costa, artiste togolais pluridisciplinaire, formé dans l’atelier de Sambiani Kassan, interroge
les liens familiaux comme vecteur de lutte contre l’isolement, l’exclusion et la vulnérabilité. Ses travaux
s’intéressent au phénomène d’enterrement du placenta mais aussi à la naissance et aux liens
spirituels entre un nouveau-né et sa mère.

MOUSSA
SAWADOGO
« Abou Sidibé, sculpteur burkinabé a une image qui dit la sculpture. Il parle d’une outre descendue dans un puits et qui remonte en même temps que l’eau... le pluriel des choses qui sont au fond. En parlant avec Moussa Sawadogo, c’est d’abord ce pluriel qui vient à l’esprit de la sculpture. La
diversité des récits pour commencer. «J’ai grandi avec les histoires de l’Afrique. J’ai grandi en marchant à côté de mon père. Et je repense à ce qu’il me racontait.» Cette irremplaçable narration que nos routes croisent. «Ce sont des endroits différents. Et puis des temps différents. Comment la sculpture peut se trouver au milieu et évoquer tout ça ?»
Roger Calmé (ABA mag’)

PIER
SPARTA
Né en Bourgogne et d’origine sicilienne, Pier Sparta s’inscrit dans le genre de la sculpture d’expression humaine et y trouve un espace pour développer son univers. La sculpture figurative devient pour lui un moyen d’évoquer l’humain dans son psychisme et son espace physique lié aux environnements qu’il traverse. Il mêle un processus de vie à un processus artistique en modelant l’homme dans une vie onirique.


CLÉMENT AYIKOUÉ
GBEGNO
Né en Bourgogne et d’origine sicilienne, Pier Sparta s’inscrit dans le genre de la sculpture d’expression humaine et y trouve un espace pour développer son univers. La sculpture figurative devient pour lui un moyen d’évoquer l’humain dans son psychisme et son espace physique lié aux environnements qu’il traverse. Il mêle un processus de vie à un processus artistique en modelant l’homme dans une vie onirique.

CAMILLE
BRÉE
Camille Brée est une artiste française qui vit et travaille entre Paris et Amsterdam.

THIERRY
TOMETY
Né en 1993 de parents togolais et béninois, Thierry Tomety débute sa carrière en tant qu’informaticien. Durant son temps libre, il s’essaie à l’infographie et se découvre un attachement pour les couleurs. Il décide de se mettre à la peinture, mettant finalement au second plan sa formation professionnelle pour se consacrer à son art. Son travail traite du processus de création et du questionnement sur le sens de la vie. Il met un point d’honneur à laisser libre court à l’imagination ceux qui se plongent dans son travail.

FANNY
MAGNABAL
Fanny Magnabal vit et travaille à Paris. Son travail protéiforme avec un accent pour la céramique, s’interroge sur les ramifications d’un intime subversif où la quête érotique et poétique deviennent par des gestes rituels une aurore au choeur. Souvent produites sous forme d’ensemble, ses pièces ne
tiennent debout que par l’appui mutuel, telle une aire polyphonique.
Amenée et habitée par des lectures c’est dans la recherche sur le territoire des oiseaux de Vinciane
Despret ; définit non pas par des frontières planes mais des gonflements d’espaces entremêlés que Fanny puise sa propre notion de rencontre et de périmètre d’expression.

DYLAN
MAQUET
Dylan Maquet vit et travaille entre Paris et Düsseldorf, diplômé des Beaux-Arts de Paris il a aussi
étudié deux ans à la Kunstakademie de Düsseldorf.
Dans la pratique artistique de Dylan Maquet, ce qui est à voir est à voir dans l’instant. Il utilise les matériaux de manière singulière, il les met en tension, montre leur fragilité. L’encre des impressions en sérigraphie s’imprime sur de la bâche transparente de manière à ce qu’elle disparaisse avec le temps,
les armatures en métal sont complétées parfois par de la cire. Chaque médium devient alors un
passage où oscille fragilité, instabilité, solidité, permanence et éphémère.
ARTMÉVI 2021
ARTMÉVI 2020

ACHILLE
ADONON

JULIETTE
DELECOUR

RICHARD LATÉ
LAWSON BODY

AMÉLIE
AKOGONYA


CLÉMENT
GBEGNO

KOKOU FERDINAND MAKOUVIA


KWAMI
DA COSTA

ATISSO
GOHA

YASMINE R.
YERIMA